• Chapitre X

     

    Personnages secondaires :

     

    El Arafi : un voyant aveugle recommandé à Lalla Aicha par Khadouj Lalaouia qui affirme que tout ce qu'il a prédit s'est réalisé point par point.

     

    Résumé :

     

    Un garçon conduit les deux femmes et le narrateur dans un dédale sordide et sombre. Arrivés dans la chambre du voyant, la narrateur se met à épier l'homme et le lieu. Le panier du voyant rappelle à l'enfant sa Boite à Merveilles. L'homme demande à l'enfant de plonger sa main dans le panier et de saisir un objet sans le voir. Ce dernier obtempère et prend une boule de verre. Après un court rituel, le voyant conseille au narrateur de revenir toujours vers soi lorsque la solitude et le malheur l'assiègent.

    A son tour, Lalla aicha plonge la main dans le panier et en tire un coquillage. L'homme la réconforte en disant que le beau temps succède toujours à la pluie. La mère sort du panier une perle noire à dessins multicolores. Et le voyant de lui conseiller de visiter les sanctuaires de la ville qui lui accorderont leur protection.

    Après avoir glissé des pièces de monnaie dans la main du voyant, les deux femmes s'en vont. Le narrateur rayonne de joie. Soudain, il s'agrippe au haïk de sa mère, de crainte d'être vu par le fqih qui est passé dans la rue.

    Chemin faisant, la mère refuse de lui acheter une grenade qui n'est pas encore mûre ; aussi se met-il à pleurnicher. Lorsqu'ils reviennent à la maison, la mère cache aux voisines sa démarche auprès du voyant, de peur d'éventer les secrets de la famille.

    Pendant l'absence du père, le garçon n'ira pas au Msid, il tiendra compagnie à sa mère. Chaque semaine, la mère l'emmène prier dans un sanctuaire. Un matin, quelqu'un frappe à la porte ; il vient de la part du père absent. Il remet à la mère un pot de beurre, une douzaine d'œufs, une bouteille de l'huile et d'argent avant de s'en aller. Le narrateur et sa mère en sont très enchantés. La femme fait don d'une part des œufs aux voisines. Arrive Lalla aicha qui partage avec la famille sa joie et les six œufs restants.

     

    Événement :

    Lalla Aicha, Lalla Zoubida et sidi Mohamed n'eurent aucun mal à trouver la maison de El Arafi, connu et respecté par ses voisins. Une fois chez lui, el Arafi, s'aida de son panier pour « sentir avec cœur les peines de ses visiteurs ». Après avoir écouté les prédictions voilées de El Arafi, le narrateur favorablement impressionné lu baisa la main alors que sa mère et son amie lui glissèrent à tour de rôle une pièce d'argent dans la main. Rentrée chez elle, la mère tut inhabituellement sa visite chez le voyant et prétendit être allée en pèlerinage aux sanctuaires de la ville. Le lendemain, elle annonça à son fils son intention de le garder à la maison et de l'emmener chaque semaine prier sous la coupole d'un saint. Un matin, elle reçut la visite d'un envoyé de son mari qui lui apportait une douzaine d'œufs, du beurre, de l'huile et de l'argent. Lalla Aicha arriva lors à l'improviste et pria son amie de lui rendre visite le lendemain parce qu'elle avait des choses à lui dire.

    Informations 

    Le narrateur, sa mère et Lalla Aicha se rendent chez le fqih El Arafi.

    Prémonition du fqih

    La mère décide de retenir l'enfant à la maison

    Visite d'un émissaire de la part du père

    Visite de Lalla aicha ( réserve une surprise à son amie)

    Symbolisme de la boite à merveilles / Le merveilleux :

    Le panier du fqih rappelle au narrateur sa boite à merveilles

    Lieux :

    Le quartier Seffah. La maison de El Arafi, le pont de Ben Lemdoun, Ahmed Ben Yahia, Ali Diab, Ali Boughaleb, Ali m'zali

    Tableaux et descriptions :

    chemin puis endroit où habite le voyant El Arafi  (le fqih)

    portrait du voyant.

    Personnages :
    El Arafi, le narrateur, sa mère, Lalla Aicha, le messager du père,la femme du voyant, la chouafa, Rahma, Fatma,


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  • Chapitre XI

     

    Temps :

    Le lendemain

     

    Résumé :

    Le jour suivant, la mère et le narrateur se rendent chez Lalla aicha. Ils la trouvent en train de mener une guerre acharnée contre les mouches. Parès que l'hotesse a préparé les ustensiles de thé, les deux femmes entament une longue conversation. Il ne se passe pas un long temps quand arriva Salama, une marieuse professionnelle.

    La marieuse commence par demander pardon à lalla aicha pour avoir arrangé le mariage de si Larbi avec la fille du coiffeur. Puis elle annonce le divorce imminent de ce dernier couple. Elle raconte comment l'homme l'a abodée dans un souk et lui a demandé de lui trouver une autre épouse. Au milieu du récit, le garçon descend au rez-de-chaussée afin de se soulager. Une voisine le remontre parce qu'il n'a pas fermé la porte des toilettes ; et l'enfant s'éclate en sanglots. Une dispute est sur le point de survenir sous l'intervention de Salama qui calme les femmes.

    La marieuse continue son récit, expliquant que les fantaisies de la jalousie de la fille du coiffeur, gâtée par sa mère. Le récit est interrompu par l'arrivée de Zhor, une voisine qui vient demander de la menthe ; elle reste pour siroter un verre de thé. La nouvelle arrivante confirme que le divorce en question ne tardera pas à avoir lieu à cause des folies de l'épouse. Après les quatre femmes partent en diatribes contre la famille du coiffeur.

    Événement :

    Arrivés chez Lalla Aicha, la mère et son fils la trouvèrent en train de chasser les mouches. Quand enfin les deux femmes commencèrent à conserver, elles reçurent la visite de Salama, qui raconta le rôle qu'elle a eu le remariage de Moulay Larbi avec la fille du coiffeur et les déboires conjugales du nouveau couple. Sur ces entrefaites, Zhor s'annonça pour emprunter un brin de menthe et confirma par son récit les malheurs de Moulay Larbi avec sa jeune femme. Après l'écoute du récit de Salama et de Zhor, toutes les femmes se lancèrent dans une diatribe contre le coiffeur et sa famille. Passionné par cette conversation, le narrateur renversa son verre de thé ce qui mit brusquement fin à l'ivresse verbale des femmes

    Informations :

    Evolution de la relation de Moulay Larbi avec sa nouvelle épouse.

    Récits enchâssés

    Salama raconte les circonstances du mariage de Moulay Larbi, les agissements bizarres de sa jeune épouse et son regard tardif.

    A son arrivée, Zhor reprend le récit et apporte des éléments nouveaux (Hystérie de la jeune épouse et imminence du divorce)

    Lieux :

    La maison de Lalla Aicha, le quartier El Adoua.

    Personnages :
    le narrateur, sa mère, Lalla Aicha, Zhor, Salama, Moulay Larbi, la fille du coiffeur et sa famille.


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  • Chapitre XII

    Personnage secondaire :

    Allal el Yacoubi : envoyé par le fqih pour s'enquérir de la santé de Sidi Mohamed.

    Résumé :

    Le narrateur admire les couplets entonnés par les femmes habitant dans la maison ; aussi rêve-t-il de composer une chanson. Il choisit le nom Zhor pour le mettre dans sa chanson. Cette femme hante les souvenirs du narrateur.

    Au milieu des chants, un garçon arrive. Le narrateur en éprouve une grande appréhension. Il s'agit de Allal El Yacoubi, son condisciple au msid. Il est envoyé par le fqih afin qu'il s'enquiert de l'état de santé du narrateur. La mère lui dit que l'enfant ne peut aller présentement à l'école coranique.

    Ce qui comble le garçon c'est la nouvelle annoncée par Zineb : le retour du Maalem Abdeslam. Le père rapporte avec lui deux poulets, des œufs, un pot de beurre, une bouteille de l'huile, un paquet d'olives et un morceau de galette paysanne en grosse semoule. Driss El aouad monte saluer le père. Il l'informe que le divorce entre Moulay Larbi et la fille du coiffeur a été prononcé hier. Au cours de la longue conversation entre les deux hommes, le narrateur prend sa boite à Merveille et se met à rêver.

    Événement :

    Un matin où flottait dans la maison un air nouveau et où tout le monde chantonnait, Allal El Yacoubi vint s'enquérir de la santé de Mohamed. Rassuré, il s'en alla informer le fqih. C'est alors que Zineb vint annoncer le retour de Maalem Abdesslam qu'elle venait d'apercevoir près de la mosquée de bigardier. En effet, un peu plus tard, le père du narrateur rentra chez lui chargé de deux poulets et de diverse provisions. Alors que lalla Zoubida rangeait ses richesses, sidi Mohamed raconta à son père les événements passés pendant son absence. Priant son ami Driss de monter chez lui, Maalem Abdeslem bénit cette separition et Sidi Mohamed bercé par la conversation des deux hommes, sortit sa boite à merveilles et se laissa emporter par le sommeil.

    Informations :

    - Driss el Aouad annonce au père que My Larbi a répudié sa femme.

    Symbolisme de la boite à merveilles / Le merveilleux :

    Se sentant négligé et fatigué, l'enfant se retourne vers ses amis. Il ouvre sa boite à merveilles.

    Lieux :

    Dar Chouaffa, la mosquée de bigardier

    Personnages :
    La chouaffa, les femmes de dar Chouffa, le narrateur, Allal El Yacoubi, Zineb, Maalem Abdeslem, Driss EL Aouad

     

     

     

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